bon, bon, bon, cette fois ci, je m’en vais prendre le temps de ne point faillir a ma réputation de causeur dans le poste, par trop, prolifique.
allez fight !
tout d’abord, dame estelle en a fini avec les enduits et si elle avait un zizi, il serait tout dur ( heuu, oui, bon d’accord, pardon. et puis je l’ai déjà faite mais pas dans sa version féminine et c’est l’émotion qui m’émotive la neurone )
car elle a vachte bien bossé, dame estelle. ça claque et puis c’est tout. et le petit goût de fini remonte bien bien le moral. ( d’où les éventuelles modification anatomique précédemment citées car il faut bien que je me trouve des excuses pour ce trait d’esprit pour le moins douteux mais néanmoins rigolo )
alors, c’est pas beau tout ça ?
a noter, la venue de christine, qui a filé, a nouveau, un coup de main a estelle. un grand merci a elle ! ( a noter que l’atelier de poterie de christine et david est ouvert et qu’il font du super boulot. le site internet arrive, j’en reparlerais a l’occaz’ )
on pourrait croire qu’après tout le boulot abattu, elle en aurait fini pour cette année ? mais que néni, en bon exploiteur que je suis, je lui ai trouvé du boulot malgré son « méééheuuuu » des plus poignant. teuteuteu, pas de ça chez nous, y a les appuis de fenêtre a nettoyer et a poncer, steup’… mééééheuuuu !!! ( bis )
une fois fini, elle devra se cogner un grand ménage avant déménagement. mais une fois, ces taches ingrates effectuées, je lui accorderais dans ma grande mansuétude, un repos bien, bien, bien, bien mérité ( elle a déjà réservé la place derrière la baie vitrée ou toute personne approchant de prés ou de loin, du fauteuil plein sud se fera péter la gueule sans sommation )
maintenant, parlons du futur sourire narquois que j’aurais quand je verrais mes squatteuse préférées revenant au printemps et qui, soit se gaufreront la bec sur mes vitrages ( mais j’espère que non, quand même, et pour mes vitrages et pour mes hirondelles… ) soit seront derrière le vitrage entrain de m’observer leur chanter nanananéreuuu de façon bien puérile 🙂
et oui, car je vous le dit ! y a de la fenêtre de posé ! ( bon, je refais pas le coup de l’anatomie mais dans l’idée, a kekchose prés… )
gad’ gad’ gad’ !
hein ? on est d’accord ? je doute que mes hirondelles comprennent le sens caché du bras d’honneur mais…
allez maintenant, passons au chapitre détaillé des fenêtres que les moins courageux pourront zapper.
on en était resté au fucking charnière.
finalement mon gabarit ne m’a pas été d’un grand secours car avec le biseau des ouvrant, je ne pouvais pas le mettre en place correctement.
j’ai finalement ressorti mon support de perceuse qui m’avait bien servi pour la charpente. le perçage a été un peu plus précis mais y a toujours des décalages de pouilliéme de mn qui font que c’est pas parfait… mais suffisant…
pour le perçage des dormants, une fois tous les ouvrants percés, j’ai bloqué les deux pièces en utilisant des cales de vitrage pour le jeu de fonctionnement entre le dormant et l’ouvrant sur la partie basse et des serres joint pour être le plus précis possible. de cette manière, il n’y a plus qu’a mettre en place la deuxième partie de la charnière et de noter l’emplacement exact.
très important, j’ai paraffiné toutes les charnières pour permettre un vissage plus souple et des réglages future qui ne bloqueront pas comme les premières charnières dont j’avais flingué le pas de vis en forçant comme un âne pour les dévisser.
et cette fois ci, c’est tout bon.
j’ai aussi intégré les bitonios ( termes très technique désignant une pièce dont on a honteusement oublié le nom ) dans les dormants de portes qui serve a fermer, la dite porte. en gros, c’est les mamans des crémones de portes, dite « trois point de sécurité » alias les papas.
en passant les portes ( qui ne fendront pas, hein ? ), mise a part le perçage des fucking charnières, sont finies et en attente de pose.
passons au vitrage. trois devis: un, 1500 € plus cher que les deux autres ( arf ! ) et les deux autres qui se tirent la bourre, niveau tarif. et le gagnant est… le plus sympa. soit la miroiterie polinoise a poligny ( 39 ).
très bon contact, bon conseil, rapide et livraison offerte. et l’argument décisif, le prêt des ventouses qui coûte un bras et qui n’aurait servi qu’une fois. le plus drôle est que le vitrage qu’on a reçu a été fabriqué par le perdant ( re arf ! )
pour le vitrage, on est sur du classique double vitrage, 4/16/4, gaz argon et faible émissivité. il y a longtemps, on était parti pour du triple vitrage mais le surcoût et le surpoids conséquent par rapport a l’intérêt n’était pas vraiment pertinent. donc faisons dans le classique.
le seul exotisme est le « blindage » des vitrages de la baie vitrée et des portes d’entrée et portes fenêtres, soit les seuls endroits sans volets. et la, ça se complique. d’où l’intérêt d’un bon conseil de votre fournisseur.
sur ce type de vitrage, différentes classes de protection sont disponible. les plus courantes sont le 44/2 et le SP10. la différence venant du nombre de film entre les vitrage qui rendra le SP10 plus résistant que le 44/2. et bien sur, le prix n’est pas le même… paramètre a prendre en compte: votre assureur exigera sûrement tel ou tel catégorie de protection selon plein de paramètre obscur dont il a le secret. donc il faut bien se renseigner avant. notre assureur n’exigeant pas grand chose a part un double vitrage, on a quand même choisi le SP10 pour avoir la conscience tranquille.
pour la porte d’entrée, on a choisi un sablage opaque.
et la livraison en porte a porte.
avec ce beau tas de matière première, le copain charlie est venu me filer un coup de main pour poser les baies vitrées fixe qui pèse un âne mort.
j’avais presque tout préparé, il restait a couper les pares closes et mettre les joint dessus. ce qui fut fait.
et la, c’est le drame, et la, tout bascule… voir même que ça cague dans le ventilo.
et pourquoi donc que ça merde, une fois de plus ? le joint de vitrage.
alors les gars, tout content, guilleret et tout, avec l’aide de gueguette, il presente la première baie…
et déjà, on s’aperçoit que le joint sec, c’est sûrement très bien mais qu’a écraser pour bien être étanche, c’est loin d’être gagné. et que si on met les pare closes avec le même joint, pour que ça jointe proprement avec le reste de la fenêtre, il faudrait que je les rabote pour qu’elle fasse 4 mn d’épais, ce qui vous en conviendrait, est très peu, autant pour les clouer que pour la solidité de l’ensemble…
je me doutais bien qu’il faudrait raboter les pare closes mais je pensais que le joint serait beaucoup moins rigide. on rajoute la dessus, la vitre supplémentaire du « blindage » et ça donne 4 mn de pare close. et voila, j’ai donc remis ma baie vitrée dans ma culotte, remercié charlie et guéguette pour leur coup de main et pris une grosse baffe au moral.
parce que, pas vraiment de solution… j’ai bien pensé a raboter les pare closes a 4 mn et en refaire des plus large qui viendrait en recouvrement mais, et d’une, je suis a la rue, niveau bois, de deux, on a sorti la machine a bois de la maison et surtout, l’éventuel temps de réalisation repoussait le déménagement a perpette. voila, voila…
donc, finalement, le silicone est mon ami et mes 250 m de joint de vitrage feront de superbe guirlande de noël. encore un produit, qui je pense, est plus adapté a la fabrication industrielle qu’a l’artisanal. ( m’enfin, si vous connaissez quelqu’un que ça peut intéresser… c’est du vitrax de chez joint dual )
finalement, j’ai testé tout ça, sur les baies fixe de la porte fenêtre et finalement, ça fera l’affaire.
du coup, charlie et gerald sont venu le week end suivant pour retenter le coup. et fallait pas se rater car je devais rendre la paire de ventouse…
et cette fois avec des pare closes de 11 mn, on a pu les mettre en place et retrouver le sourire.
donc siliconage avec un silicone spécial vitrage, le calage du vitrage avec des cales spéciale fait pour et le clouage des pare closes en faisant gaffe de pas clouer le vitrage. hein ? c’est mieux, non ?
puis raclage du surplus de silicone avec une raclette spéciale fait pour aussi, qui est elle même en silicone et qui fait que le silicone n’accroche presque pas dessus. ce qui permet de faire de joli joint sans s’empéguer les doigts, comme dirait mon père 🙂
très pratique, c’te bête la.
et on enquille tant qu’on est chaud !
et finalement, tout s’est bien passé.
j’ai profité d’avoir deux gars, beau et fort pour déplacer l’insert de l’atelier a la maison
et pour qu’ils aient vraiment mérité leur bière, on a déplacé l’escalier provisoire dans l’emplacement du futur escalier.
puis dans l’après midi, j’ai fabriqué une barrière provisoire pour la mezzanine.
et un grand merci a gerald et charlie pour leur coup de main.
pendant la semaine, j’ai commencé a préparer les fenêtres ouvrantes qui viennent sous les baies fixe.
avec au menu, ajustage divers zé varié et intégration de la quincaillerie
puis mis en place des équerres, en commençant par fraiser les trous afin que la tête de vis viennent affleurer.
et le résultat. fermé.
et ouvert
c’est chouette, non ? et en plus, ça va être très pratique pour faire une aération du tonnerre en été, pour faire rentrer la fraîcheur nocturne. beau et utile, quoi !
attend, c’est pas fini, car c’est bon pour le moral, c’est bon bon ! de mon portail, maintenant, je vois une fenêtre ! oui, oui, je sais… c’est fou ! je vous présente donc : la fenêtre des caguoinces ! ( autrement appelé » mon bureau » )
bon, vous êtes toujours la ? grand fou, va !
alors, ce week end, je me suis mis sur les fenêtres classique. et c’est du boulot. d’ajustage, de réglage, mis en place des joints etc… c’est bien simple, j’ai mis le samedi entier pour faire la première. le temps de prendre les mesures, de voir, a quel distance mettre les bitonios pour que, une fois la crémone fermé, ça plaque bien mais pas trop pour pas devoir forcer pour la fermer, etc… pas simple tout ça…
les joints
les bitonios ( marque déposé )
traçage des trous pour la poignée
la crémone et sa rallonge
trou d’évacuation de la condensation ( sur les conseils de toto 😉 )
et une fois tout ajusté, y a plus qu’a mettre en place, le tout.
en commençant par faire une rainure pour la pose du joint « compriband » qui permet une étanchéité a l’air des dormants.
puis mise en place du compriband en faisant un petit bourrelet aux angles et sans le tendre, sous peine de le voir se rétracter et ne plus servir a rien.
juste après usage, je vous conseille aussi d’enrubanner votre restant de rouleau de cette manière, sous peine d’une expansion du joint qui pourra rejoindre la poubelle. et au prix que ça coûte… et vraiment de cette façon, sinon il finira par se faire la malle. efficace mais susceptible.
puis pose du vitrage…
et mise en place
et HÔ joie, HÔ bonheur, ça ferme bien et ça coince nulle part. hôôôô yeah !
résultat des courses, trois fenêtres de posé sachant que j’en ai fait deux aujourd’hui, ayant les mesures précise de la précédente fenêtre et donc pas de temps a perdre.
voila, très content le gars. il me reste donc 5 fenêtres classique, les fenêtres triangle qui devrait être assez rapide car fixe sauf une et les portes. donc, c’est pas encore fini mais on en approche.
allez pour cette fois ci, j’en ai fini et bravo au courageux qui ont lu jusqu’au bout. z’êtes des malades !
faut vraiment que je sois plus régulier dans les messages mais c’est vrai qu’en ce moment, on est au taquet avec des journée très très longue et peu de temps dispo. cet hiver, je ferais un message de deux lignes par jour, pour me faire pardonner.